Sein-biose
La consigne de ce soir là... c'était :
Lire quelques pages étonnantes de Francis Giraudet, de son indicible : "Stultures".
Regarder des gravures de Sophie-elle... Ondes de nues, permises uniquement à la majorité.
Piocher deci-delà des mots, des expressions et décrire les images.
A vos plumes...
Laporême, quand on aime,
cest la peau qui traîne à laigre danse
Et quand, le mirailleculeux du
juxtapositionnement bondit hors de son coffret-chaud, il reste une once de crème
pour brandir les outils et les semences.
Quelle mer-veille
alors ! Envolée ! Voletant ! Plumeteuse aux affres de subtiles
odorations
Il nest pas de viande à bouder qui soffrationne de la sorte. Les
reposes-pierres peuvent bien rester écloses, où que tournoie le visage, quels
que soient les virages et les mirages, la bouche-bouton ne viendra pas à terme.
La peau névrose est litanie,
aucune Anna-lyse ne peut sen détourner.
Reste le pied de nez si bien
encré sur terre ou par montagne-veau avec un soupçon de remonte pente pouvant
bien harper de ses creux cette branche ainsi garée.
Un si-lance, ou tente
dentrer dans les réduits du geste zestroné et tranche-capité.
Rien ny rejoue, se change
ou se lange.
Les cercles globuleux
nosent entrapercevoir le roseaucelet et continuent énergiquement à rester
fenestrés. Peut-être que tout souplement, ils se laissent endobercer par les
nuances volutés de cette odeur diffusée, gélifiante presque.
De tous les façonniers, le
skate-bordé ne se capitulera pas. A moins que sur de nouveaux sentiers, sans
compter le lèche-mains, une abysse étincelle, surgit et pourfende, lapaise
Allez ça-se-voir !
Agnès